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THE DODO OF MAURITIUS

THE DODO OF MAURITIUS

THE DODO OF MAURITIUS

The dodo bird is the national emblem of Mauritius.

Appearing on the coat of arms, on banknotes, on postage stamps and in a few valuable ancient paintings, the dodo has made Mauritius well known worldwide.

Its extinction is no longer a mystery.

Since the island was formed, around eight million years ago, among the first living creatures to inhabit it were birds. Some evolved into unique species found nowhere else on earth. The dodo is related to a pigeon that arrived from south east Asia.

Over time the dodo developed its own features, such as its large strong beak, perhaps to crack nuts. Without any dangerous animal around to bother it, the dodo had no need to fly away, its wings shrivelled; it became flightless. The dodo’s tail, a few curly feathers, was another curious feature.

The arrival of men during the sixteenth century disturbed the dodo’s peaceful life. The Dutch who landed here made the first detailed drawings of the dodo. Unfortunately many dodos were slaughtered for food, although the sailors did not really enjoy its taste.

A few live specimens reached India and Europe. The dodo became a curiosity. The bird interested naturalists or bird lovers who added it to their collections.

Monkeys and pigs brought by sailors to Mauritius were released on the island. Rats hiding on board ships found their way ashore. These animals would worsen the dodo’s existence. They fed on the dodos’ eggs and its young. And the dodo rapidly dwindled in numbers.

The last time the live birds were seen was around 1668. The dodo became the first recorded case of extinction as a direct result of man’s actions. As the unique homeland of the dodo Mauritius too became well known.

During the eighteenth century, Dutch and British artists painted the dodo. But they did not work from live models and pictured the bird as excessively fat. Earlier paintings of an Indian artist and the drawings made by the first Dutch arriving here give a clearer idea of the dodo’s appearance.

A bronze model of the dodo can be viewed at ‘Ile aux Aigrettes’ Natural Park. Real dodo bones are exhibited in 27 museums around the world and a complete skeleton at the Natural History Museum in Port Louis. Scientific investigation of its bones enabled a partial recovery of dodo DNA, its genetic code. Let us hope that live dodos may one day be recreated and restored to their original habitat: Mauritius.

Meantime the latest offering from KM Publishing will provide entertainment and an understanding of the life and loss of the dodo for you and your children.

Le dodo est l’emblème national de Maurice.

Figurant sur les armoiries, les billets de banque, des timbres post et peint en quelques rares tableaux de valeur, le dodo a fait connaître l’île Maurice à travers le monde. Sa disparition n’est plus un mystère, plusieurs études et recherches nous en informent.

Huit millions d’années de cela, l’île est née d’une éruption volcanique et les oiseaux étaient parmi les premières créatures à s’y installer. Certains ont évolué et devinrent des espèces uniques au monde. Ainsi en était-il du dodo, qui était apparenté aux pigeons du sud-ouest de l’Asie.

Pendant des milliers d’années, le dodo développa des traits bien à lui, son grand bec fort pour croquer des fruits de lataniers. Sans la menace d’autres animaux dans ses alentours, le dodo n’avait point besoin de s’envoler : ses ailes se rapetissèrent… Pour parfaire son allure, il portait une queue faite de quelques plumes curieusement bouclées.

Quand les hommes arrivèrent sur l’île, au seizième siècle, la vie du dodo devint moins paisible. Les Hollandais ont esquissé l’oiseau et ces dessins restent nos premières informations détaillées sur cet oiseau. Mais, malheureusement, plusieurs dodos ont été tués pour servir de nourriture, quoique les marins n’aient pas vraiment apprécié la qualité de la chair.

Quelques individus furent exportés en Inde et en Europe. Le dodo était devenu un objet de curiosité, il intéressait des naturalistes ou des collectionneurs d’oiseaux. Le dodo était aussi exposé vivant dans des foires ou même encore il était offert comme un présent de valeur. On vendait et achetait des dodos secrètement, et très cher.

Des marins de passage à Maurice ont aussi débarqué des singes et des sangliers. Et des rats qui se dissimulaient à bord des vaisseaux, trouvèrent liberté sur l’île. Ces nouveaux venus menacèrent l’existence des dodos, en dévorant les oeufs et leurs petits. Incapables de se propager, leur nombre réduisit rapidement.

Au cours d’un bref espace de temps, le dodo devint extrêmement rare. Les derniers témoignages sur l’île remontent à environ 1668. Cette disparition est le plus connu de l’histoire sur la faune endémique dont l’homme soit responsable. Et l’île où habitait cet oiseau unique, Maurice, devint célèbre à travers ce drame.

Au dix-huitième siècle, des peintres hollandais et britanniques réalisèrent des tableaux du dodo. Mais ils n’ont pas travaillé à partir des modèles vivants. Leurs représentations étaient plus un oiseau trop gras. L’ancien peinture d’un Indien et les dessins des premiers Hollandais sur l’île représent mieux l’apparence du dodo.

Un modèle de bronze est présent à l’Ile aux Aigrettes, un reserve naturel. Des ossements du dodo sont exposés dans 27 musées à travers le monde et un squelette complet au Musée d’Histoire Naturelle à Port-Louis. Surtout, les ossements retrouvés ont permis aux scientifiques de connaître son ADN, c’est à dire son code génétique, ce qui ravive l’espoir d’un jour recréer des dodos vivants, qui retrouveront leur habitat originel:  l’île Maurice.

Entre – temps ce joli petit livre de Khalil Muthy fera revivre le dodo chez vous!

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